Un projet qui en amènerait d'autres...(il semble déjà qu'il y en ait trop au Québec!) et qui contaminerait le Québec, les provinces voisines (et sûrement les états limitrophes des États-Unis), les rivìères, le fleuve St-Laurent et l'eau potable... NON MERCI!
Un projet qui servirait à alimenter le reste du monde en uranium, et dans quel but? Mmmmm. NON MERCI!
L'argent n'a pas d'odeur, les guerres, l'économie et les profits n'ont plus.
Je salue bien bas les 20 médecins qui menacent de démissionner en bloc sur la Côte-Nord si le projet se concrétise. Ce sont des gestes comme ça qui font parfois bouger vraiment les choses, et ils ont à coeur la santé de la population. Tandis que notre cher gouvernement brandit la menace d'une loi spéciale pour les faire rentrer dans le rang? Un peu de moralité et moins de libéralisme commercial svp M. Charest. Ventre affamé n'a point d'oreilles, dit-on, et là je m'adresse à la population qui serait tentée par les promesses d'emplois et de profit... À quoi sert l'argent et les emplois une fois que l'environnement est contaminé et que le cancer se répand dans la population...? À quoi sert le profit engendré par un commerce qui dessert notamment l'industrie de la guerre et une substance radioactive qui génère des problèmes environnementaux majeurs? Peut-on penser aux enfants auxquels on laissera notre Terre après notre passage....? -Isabel (Photo Paysage d'automne, Lanaudière, Québec de http://www.bonjourquebec.com/ )___________________________
Projets miniers
Sept-Îles aujourd'hui, Montréal demain?
Par Alain Rochefort - Agence QMI
06/12/2009
"Ce sont tous les Québécois qui devraient se sentir interpellés par les projets miniers uranifères, estiment les porte-paroles de la population nord-côtière en défaveur de l'exploitation d'une mine d'uranium à proximité du lac Kachiwiss, à 13 kilomètres au nord de Sept-Îles.
"Regorgeant de réserves d'uranium, le Québec est à l'heure du choix de devenir ou non un exportateur majeur de cette ressource vers d'importants marchés dépendants de l'énergie nucléaire, tels la Chine ou l'Inde, jugent-ils.
"Selon Marc Fafard, membre de l'organisation Sept-Îles sans uranium, le gouvernement québécois dévoile bien mal ses intentions en n'imposant pas de moratoire sur l'exploitation d'uranium, pendant que des projets d'exploration poussent comme des champignons sur son territoire.
"Sept-Îles, Port- Cartier, Rivière Pentecôte, Baie-Johan-Beetz sur la Côte-Nord, mais aussi à proximité d'autres municipalités comme Mont-Laurier, dans les Laurentides, située à peine à 1h30 de voiture de Montréal, la vallée de l'Outaouais ou les monts Otish, à 250 kilomètres de Chibougamau.
"Il y en a partout des projets. Il y en a 87. L'argent n'a pas d'odeur, ni de maladie, déplore M. Fafard. C'est devenu une question nationale. La vraie question est veut-on devenir producteur d'uranium? (...) On va commencer par contaminer la Côte-Nord. Ensuite, il y aura d'autres projets au nord des grands centres, là où l'eau s'écoule vers le fleuve Saint-Laurent et là où les vents soufflent vers le sud. Sans oublier qu'on va contaminer l'eau potable du nord du Québec, ce qui concerne aussi des villes comme Québec, Montréal, Saguenay. LIRE LA SUITE
Articles
La vraie question c'est comment on lkaissera la Terre aprés notre passage pour nos enfants? Et, le Canada n'est pas l'unique, c'est une maladie actuel du monde!
RépondreSupprimerSaluts
Exactement Veiga. J'ai deux enfants, et tous les autres à coeur... J'estime que nous devons agir de façon responsable et laisser le moins de traces possibles de notre passage sur Terre.... Je sais bien qu'il existe des mines d'uranium ailleurs, mais je me dis que nous ne sommes pas obligés ici au Québec de faire les mêmes bêtises qu'ailleurs??!
RépondreSupprimerVeiga, obrigado para a tua visita!
RépondreSupprimerChére amie je vous souhaite un joyeux Noël et une bonne année
RépondreSupprimerVotre ami:
Antonio Veiga