Diverses nouvelles en vrac en cette merveilleuse journée de presque printemps...Bonne lecture!
Isabel
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Le voile, le niqab, la cagoule, et les lunettes fumées rendent la communication difficile! Pour aller au-delà des accomodements religieux.... Lu sur Le Devoir
Port du niqab - Le visage découvert
On fait fausse route en ramenant le port du voile islamique en société à un simple problème « d'accommodement religieux »
Claude Martin - Québec 8 mars 2010 Éthique et religion
Le port du voile en public semble poser des problèmes à plusieurs sociétés occidentales (et pas seulement au Québec), et cette question suscite actuellement de nombreux débats un peu partout. La présente réflexion a pour objectif de clarifier les enjeux à ce sujet et de proposer une façon d'aborder cette question au Québec dans l'intérêt de tous.
Dans son livre Le Singe nu paru en 1967 et vendu à plus de dix millions d'exemplaires, l'éthologue anglais Desmond Morris analysait les comportements humains en les comparant à ceux des animaux. Je me souviens très bien de ses observations sur l'importance du visage dans toutes les communications entre individus.
C'est en effet par l'observation du visage des autres qu'il est possible d'établir une saine communication, parce que tout échange entre individus s'établit à partir de la perception de ses sentiments que révèle bien son visage, lorsqu'il est visible (colère, satisfaction, étonnement, agressivité, besoin de domination, etc.). Morris constatait à ce titre la simple difficulté de contact avec un individu portant des lunettes fumées: cela fait paraître trop «agressifs» (et donc dominants) les yeux du porteur de lunettes fumées, devant qui les interlocuteurs baissent généralement les yeux ou détournent le regard pour se protéger de l'agression... ARTICLE INTÉGRAL
Article de La Presse - Alain Dubuc
(...) Ça a fait les manchettes. Plusieurs quotidiens, en éditorial, ont enjoint au gouvernement Harper de ne pas toucher à l’hymne national. Les conservateurs ont très rapidement découvert que l’idée de modifier le Ô Canada déplaisait tout particulièrement à leur propre base électorale. Et, chose inhabituelle, ils ont reculé. Vendredi, le dossier était officiellement clos.
Au Québec, on n’en a presque pas parlé. Pas par indifférence aux enjeux canadiens. Mais parce que ce débat était incompréhensible pour un francophone. Le mot agaçant que le gouvernement aurait voulu neutraliser se trouve dans la deuxième strophe de l’hymne : « True patriot love in all thy sons command », ce qui se traduit, selon Patrimoine Canada, par « Objet de l’amour patriotique de tous tes fils ». Le mot « fils » est non inclusif.
Le problème, c’est que cette phrase n’existe tout simplement pas en français. Dans la version française, c’est plutôt : « Ton front est ceint de fleurons glorieux ». Les deux versions des deux langues officielles sont totalement différentes. Le Ô Canada français est un poème écrit par Adolphe-Basile Routhier en 1880, sur une musique de Calixa Lavallée. La version anglaise, qui date du début du XXe siècle, n’est pas une traduction, ni même une adaptation. Les deux chants n’ont rien de commun, sinon la mélodie, et les deux premiers mots : Ô et Canada. (...)
en bleu, les fondateurs francophones, les colons français.
L’Empire du Mensonge, les Etats-Unis, a doté ses armées d’un Bureau d’influence stratégique qui a intoxiqué les médias du monde entier ; Pour « vendre » la guerre contre l’Irak, il a caricaturé la situation et inventé la menace des armes de destruction massive. Mais cette guerre n’est rien, pas plus que les autres conflits intermédiaires auxquels on nous prépare. La cible ultime, c’est la Chine, car elle se développe et il n’y a pas de place sur Terre pour une seconde puissance consommatrice de cette taille. C’est pourquoi, souligne Giulietto Chiesa, la paix exige le changement de nos modes de vie. ARTICLE INTÉGRAL
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